Le souffle de la jeunesse
Gabriel Nadeau-Dubois
Pascale Cornut St-Pierre
Bruno-Pierre Guillette
Josée Madéia Charlebois
Robert Martin
Jérémie McEwen
Combien de fois avons-nous entendu dire que les jeunes d’aujourd’hui étaient individualistes, apolitiques et désintéressés des grandes questions de société ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’importante contestation étudiante du printemps 2012 est venue battre en brèche cette idée reçue.
Les jeunes du Québec n’ont jamais cessé de s’intéresser à la chose politique, ni de mener des réflexions d’ordre plus philosophique. C’est d’ailleurs le pari qu’avaient fait la Fondation Charles-Gagnon et les Éditions Écosociété en organisant en 2010 le concours d’essais Bernard-Mergler.
Sont ici réunis cinq des meilleurs textes ayant été soumis au concours : regard sur la mort à l’aune de l’anthropologie économique, engagement des jeunes, lieux de sociabilité des classes populaires, responsabilité sociale des entreprises ou perte de sens, voilà autant de problématiques témoignant de la richesse de la réflexion qui anime la jeunesse québécoise.
Et si, comme l’affirme Gabriel Nadeau-Dubois dans la postface, cette jeunesse a été mise « au monde comme génération politique » avec la grève étudiante, ces textes sont la démonstration que le réveil du « printemps érable » promet d’avoir le souffle long…Détails du livre
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Éditeur
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Texte original
Oui -
Langue
Français -
Date de publication
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Nombre de pages
233 -
Collection
À propos de l'auteur
Gabriel Nadeau-Dubois
Gabriel Nadeau-Dubois a été l’un des porteparole de la Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (classe) pendant la grève étudiante de 2012. Auteur de «Tenir tête» (Lux, 2013), il est actuellement candidat à la maîtrise en sociologie et collaborateur à la radio de Radio Canada.
Pascale Cornut St-Pierre
Pascale Cornut St-Pierre est étudiante à la Faculté de droit de l’Université McGill
Bruno-Pierre Guillette
Diplômé d’un baccalauréat en histoire de l’Université de Sherbrooke, Bruno-Pierre Guillette termine une maîtrise en histoire à l’UQAM portant sur les luttes pour la préservation du repos dominical dans l’industrie papetière québécoise durant la Révolution tranquille. Il travaille également comme recherchiste de contenus (sources, images) pour le Service national du RÉCIT en univers social et enseigne à l’Université du Troisième âge de Sherbrooke.
Josée Madéia Charlebois
Josée Madéia Charlebois est diplômée d’un baccalauréat en sociologie et en études de la condition féminine, ainsi qu’une maîtrise en sociologie politique à l’Université d’Ottawa
Robert Martin
Après avoir complété une majeure en Histoire, culture et société à l’Université du Québec à Montréal, Martin Robert termine présentement une mineure en Études classiques à la même institution. Il entamera à l’automne 2012 une maîtrise, au cours de laquelle il prévoit étudier l’histoire du rite funéraire dans le Québec du XIXe siècle. Il s’est impliqué dès ses études collégiales dans le mouvement étudiant québécois, notamment au sein de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ).
Jérémie McEwen
Animateur bénévole à l'antenne de la radio communautaire CIBL et de collaborer à Bande à Part — la branche émergente de Radio-Canada —, Jérémie Mc Ewen partage aujourd'hui son temps entre deux métiers, celui de professeur de philosophie, au cégep Montmorency, et celui de rapeur, en solo sous le nom de Maître J ou avec son groupe NSD (Nul si découvert)
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